Zones de potentiel danger :
Les indices informels, c'est-à-dire les indices issus de l'expérience, du bon sens et de la logique peuvent aussi influer sur notre allure.
On distingue généralement trois types de zones particulièrement dangereuses :
Les zones d’incertitude :
Tous les usagers génèrent une zone d’incertitude qu’ils soient en mouvement ou à l’arrêt.
Cette zone entoure l’usager et est caractérisée par la capacité de cet usager à se déplacer plus ou moins rapidement dans telle ou telle direction.
Les piétons, par exemple, génèrent de grandes zones d’incertitude même s’ils ne sont pas rapides car ils peuvent à n'importe quel moment changer de direction.
Une voiture en mouvement peut à n’importe quel moment se déplacer dans la direction indiquée par les flèches. Il faut prendre des distances de sécurité en conséquence.
Les zones de mauvaise visibilité :
Les zones de mauvaise visibilité sont les parties de notre environnement qui masquent les situations. Par exemple, un abri bus peut cacher des piétons sur le trottoir.
A l'examen du Code de la route, les zones masquées par des bus ou des poids lourds sont les zones les plus dangereuses.
Un bus (ou un poids lourd) peut cacher des piétons sur la chaussée. Plus la visibilité est mauvaise plus il faut ralentir afin de pouvoir s’arrêter en cas de problème.
Les zones de potentiel conflit :
Ce sont des zones dans lesquelles il est préférable de ne pas s’engager car notre présence pourrait engendrer gêne ou danger.
Ainsi, dans un carrefour embouteillé, il est préférable de s’arrêter avant l’intersection afin de ne pas bloquer la circulation et créer de bouchon.
De même, si un conducteur rencontre une zone où des poids lourds manœuvrent, il est préférable de garder une longue distance de sécurité.
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